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MANTRA : 190. BWO LA SHE SYI DWO



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MANTRA : 190. BWO LA SHE SYI DWO


Verset :

L’atteinte de la sagesse sur l’autre rive est la mère de tous les Bodhisattvas.

La division du lotus du Dharma est subtile et merveilleuse.

Bon en effet est l’accomplissement de divers karmas supérieurs !

Allez tout droit vers le trésor. C’est dans l’intérêt du réel que le provisoire est accordé. 

Commentaire :

Bwo La est la Prajna Paramita qui signifie l’atteinte de la sagesse sur l’autre rive puisqu’en utilisant cette sagesse, on peut atteindre l’autre rive. Le soutra de l’Ornement fleuri dit : la Prajna Paramita, l’atteinte de la sagesse sur l’autre rive est la mère de tous les Bodhisattvas. Puisqu’il est la mère de tous les Bodhisattvas, ce Dharma est aussi celle de tous les Bouddhas. Si vous êtes capable d’acquérir cette sagesse, vous pouvez parvenir sur l’autre rive et si vous atteignez cette rive, vous pouvez en finir avec la naissance et la mort, quitter le cycle des renaissances. Cette ligne du Mantra indique donc qu’en utilisant la sagesse comme moyen de franchissement, vous pouvez atteindre le Nirvana fondamental, l’autre rive.

La division du lotus du Dharma est subtile et merveilleuse : cette ligne concerne la division du lotus de l’Ouest où le Dharma est subtil, merveilleux et inconcevable. C’est le secret dans le secret, le merveilleux dans le merveilleux. Il est indicible. 

Bon et parfait sont l’accomplissement des divers karmas supérieurs !

She Syi Dwo, aussi transcrit Su Syi Di (susiddhi), veut dire bien et parfaitement accompli; bien et parfaitement accompli est tout le bon karma des êtres vivants; bien et parfaitement accompli est tout le karma supérieur des êtres vivants; bien et parfaitement accomplis sont tous les vœux des êtres vivants afin qu’ils puissent atteindre leur but et accéder au Nirvana fondamental. C’est la capacité de mener tout karma supérieur à son accomplissement. 

Allez tout droit vers le trésor : cette porte du Dharma est un genre fondamental du Dharma. Ce n’est pas une ville que l’on transforme pour les pratiquants des deux Véhicules. C’est le trésor fondamental. Vous pouvez prendre autant de pierres précieuses que vous le désirez. Bien que vous les preniez, elles ne peuvent jamais s’épuiser; bien que vous en fassiez usage, elles ne s’épuisent jamais.

C’est dans l’intérêt du réel que le provisoire est accordé : le Bouddha accorda le provisoire dans l’intérêt du réel. Dans l’intérêt des Bodhisattvas du vrai enseignement, il enseigna d’abord le Dharma provisoire. Ensuite, ouvrant le provisoire pour révéler le réel, il enseigna la porte du Dharma du trésor fondamental.

Le genre de pouvoirs, de mérites et de vertus qu’implique le maintien du Mantra Shurangama ne peut jamais s‘exprimer complètement. On ne peut rien en dire. 

MANTRA : 191. SA DAN TWO 

Verset :

Nous, dieux et immortels, saluons le sommet du Bouddha,

Faisons respectueusement des offrandes aux sages et aux dignes.

Par la pratique des bénédictions et l’augmentation de la sagesse, nous nous repentons des obstacles karmiques.

Nous cherchons à naître dans l’ouest, au pays de la béatitude fondamentale. 

Commentaire :

Cette ligne dit que tous les dieux et les immortels saluent le Mantra de la grandeur du sommet du Bouddha. Ils devraient respecter le Mantra Shurangama.



Nous, dieux et immortels, saluons le sommet du Bouddha : nous désigne les dieux et les immortels qui parlent en leur nom. Ils doivent saluer la grandeur du Mantra spirituel du sommet du Bouddha.

Nous faisons respectueusement des offrandes aux sages et aux dignes. Nous devions tous être respectueux et faire des offrandes à tous les Bouddhas des dix directions, aux sages et aux saints de la Sangha.

Par la pratique des bénédictions et l’augmentation de la sagesse, nous nous repentons des obstacles karmiques : nous, les dieux et les immortels devons pratiquer les bénédictions, augmenter notre sagesse et nous repentir de nos obstacles karmiques en saluant la grandeur du Mantra du sommet, le Mantra spirituel du Shurangama.

Nous cherchons à naître dans l’Ouest, au pays de la béatitude fondamentale : nous aspirons à la terre de l’Ouest de la béatitude fondamentale. C’est l’endroit le plus heureux, la terre pure de la tranquillité et de la lumière éternelle du Bouddha. Nous voulons nous y rendre. 

MANTRA : 192. CHYE DU SHAI NI SHAN 



Verset :

L’apparence au-dessus du sommet invisible est le premier Shurangama.

Au centre se trouve la division du Bouddha qui sauve ces suspendus à l’envers.

Le Bouddha Vairochana se répand en tous lieux :

Grâce à cela, il est toujours ici avec vous et moi. 

Commentaire :

Cette ligne du Mantra, Chye Du Shai Ni Shan, est l’apparence au-dessus du sommet invisible. Mais vous dites-vous : « Si le sommet est invisible, comment peut-il y avoir une apparence là-bas ? » Invisible ne signifie pas ici qu’on ne peut voir, mais plutôt qu’il n’y a rien qui ne puisse être vu.

Si vous dites : « Et bien, je ne le vois pas », c’est qu’il est invisible pour vous dans le sens normal du mot, juste comme il l’est pour quiconque n’a pas l’utilisation des cinq yeux. Si vous ouvrez les cinq yeux, il n’y a rien que vous ne puissiez voir. Quels sont les cinq yeux ?


  1. L’œil du Bouddha.

  2. L’œil du Dharma.

  3. L’œil de chair.

  4. L’œil de sagesse.

  5. L’œil céleste.

Il existe un verset à propos de ces yeux :

L’œil céleste pénètre les obstructions.

L’œil de chair voit les obstructions sans y pénétrer.

L’œil du Dharma peut voir l’ordinaire.

L’œil de sagesse sonde le vrai vide.

L’œil du Bouddha est comme mille soleils.

Leur illumination est différente, mais leur substance est identique. 

L’œil céleste pénètre. Il peut voir au travers de toutes sortes d’obstructions. Il peut voir à travers les murs, l’univers entier. Il voit à travers le système du monde à mille carrés aussi clairement qu’on voit un fruit d’amalaka dans la paume de sa main.

« Qu’est ce qu’un fruit d’amalaka ? » vous demandez-vous. Et bien, disons-le autrement : c’est comme voir une pêche, une pomme ou une orange dans la paume de sa main. Le fruit d’amalaka qui vient de l’Inde est la mangue. Mais inutile de dépenser temps et efforts à le rechercher. Ce serait comme collectionner des meubles d’époque. Les antiquités sont inutiles. Vous ne pouvez les manger. Or ce qui importe d’abord pour nous, c’est de manger. Si vous collectionnez les antiquités, vous vous attachez à elles, vous en prenez soin, vous vous en inquiétez. Vous vous faites des cheveux blancs à collectionner des antiquités sans vous rendre pas compte de ce qui se passe; bien que sans valeur, vous continuez à les considérer comme des trésors. C’est une perte de temps ! Brisez toutes vos antiquités en mille morceaux ! Rendez-les aux quatre éléments : la terre, l’air, le feu et l’eau. 

L’œil de chair voit les obstructions sans y pénétrer. L’œil de chair diffère de l’œil qui pénètre les obstructions, qui voit à travers le mur comme s’il n’y avait rien; qui pénètre les arbres aussi facilement que l’espace vide. L’œil de chair, lui, est simplement un œil comme tous les autres qui n’ont pas de partenaires, qui ne vont pas par paires. Chaque œil voit individuellement. 

L’œil du Dharma peut voir l’ordinaire. L’œil du Dharma voit l’apparence vide de tous les Dharmas. Le soutra du Cœur dit : « Shariputra, tous les Dharmas sont vides de caractéristiques. » L’œil du Dharma contemple la réalité ordinaire, à savoir toutes les montagnes, les rivières et la grande terre, tous les Dharmas mondains. Il peut voir toutes les choses en ce monde, la façon dont elles se transforment et se ressemblent. 

L’œil de sagesse comprend le vrai vide : l’œil de sagesse peut voir le vrai signe fondamental de tous les Dharmas. Il pénètre l’origine de tous les Dharmas; il n’est rien qu’il ne puisse pénétrer. Ainsi, l’œil de sagesse regarde le vrai vide. L’œil ordinaire voit le vide de l’existence et de la vérité fondamentale. Existence et vide cependant ne sont pas duels et cette distinction est très évidente quand cet oeil fonctionne. 

L’œil du Bouddha est comme mille soleils. L’œil du Bouddha répand une lumière équivalente à mille soleils. 

L’éveil est différent, mais leur matière est identique. L’éveil est différent, la matière fondamentale est la même.

       L’unique (matière) origine se dissipe dans les innombrables différences;

       Les innombrables différences retournent à la seule origine.

       L’unique  est illimitée;

       L’illimitée est l’unique.

Faisant usage des cinq yeux, il n’est rien qu’on ne puisse voir. Si le sommet invisible ne pouvait être vu, comment pourrions-nous y faire référence ? Bien sûr qu’il peut être vu ! Je crois cependant que personne d’autre ne l’expliquerait de cette manière. Il n’y a rien qui soit vu ou à voir. Utiliser une expression comme sommet invisible, viserait-il à tromper les gens ? Pensez-vous que c’est une explication logique ? Si le sommet invisible ne peut être vu, comment peut-on lui donner un nom ? Certes, il ne peut être vu par les gens ordinaires, mais les sages peuvent le voir. Puisque les sages peuvent le voir, on l’a nommé sommet invisible

L’apparition au-dessus du sommet invisible est le premier Shurangama. Le premier Shurangama se traduit comme en fin de compte durable. C’est le nom d’un Samadhi. 

Au centre se trouve la division du Bouddha : c’est la division du Bouddha Vairochana, le corps de Dharma du Bouddha Shakyamouni. La récompense du corps du Bouddha Shakyamouni est le Bouddha Nishyanda. Le Bouddha Shakyamouni se manifeste aussi en des centaines de milliers de millions de corps transformés, en un nombre illimité.

La division du Bouddha du centre sauve ces suspendus à l’envers : une fois l’an, nous célébrons les cérémonies d’Ullumbana qui soulagent ceux qui sont renversés, ceux qui résident dans les mondes des spectres et des enfers. Lorsque les êtres qui sont souffrants et suspendus à l’envers tentent de mangent, la nourriture sort de leur bouche sans pénétrer dans leur système digestif. Réfléchissez juste à cela. Vous pouvez comprendre à quel point la situation est insupportable. Ils sont suspendus à l’envers parce que, par le passé, ils faisaient toujours tout à l’envers.

Le Bouddha Vairochana se répand en tous lieux : il ne reste pas de lieu où il ne demeure pas.

Grâce à cela, il est toujours ici avec vous et moi. Nous tous avons le corps de Dharma du Bouddha Vairochana qui nous surveille. Nous ne le voyons pas parce que, pour nous, le sommet est invisible. Nous sommes encore des gens ordinaires. Nous n’avons pas vu les Bouddhas et c’est une situation très douloureuse. 

MANTRA : 193. HU SYIN DU LU YUNG 



Verset :

Les véritables mots du Dharani Nan Ya Houng sont Vairochana, Amitabha et Akshobhya de l’est.

Les très grandes significations des corps de Dharma, de récompense et de transformation :

Tous les sages et les dignes des dix directions en proviennent. 

Commentaire :

Hu Syin est soit Nan ou Houng soit tous les deux Nan et Houng.

Ces deux syllabes ont plusieurs significations mais, au final, elles reviennent au même.

Le Mantra a des milliers de changements et d’innombrables transformations.

Vous le présentez d’une manière et il en résulte une autre. Vous tentez de déterminer cette dernière et elle change à nouveau. Vous dites qu’il est rouge, il se transforme en jaune. Vous dites qu’il est jaune et il se transforme en blanc. Que se passe-t-il ? C’est ce qu’a voulu dire inconcevable.

       La bouche veut l’exprimer, mais les mots manquent.

       L’esprit veut le considérer, mais les pensées se dissipent.

Il est inconcevable et ineffable.

       Hu Nan est les véritables mots du Dharani. Vous pouvez dire que c’est Nan ou Houng mais le complet dit Nan Ya Houng, que certains prononcent Om Ha Houm. Ces syllabes sont les trois bases qui représentent la pureté des karmas du corps, de la parole et de l’esprit. Vous récitez Nan Ya Houng pour établir la base d’un Shurangama embelli et pur.



Nan est la syllabe-germe du Bouddha Vairochana.

Ya est la syllabe-germe du Bouddha Amitabha.

      Houng est la syllabe-germe du Bouddha Akshobya, le maître Dharma de la médecine qui chasse les calamités et prolonge la vie.

Quand vous récitez ces trois syllabes, Nan Ya Houng, vous invoquez aussi les noms de ces trois Bouddhas.

Les véritables mots du Dharani Nan Ya Houng sont Vairochana, Amitabha et Akshobya de l’Est. Le Bouddha Vairochana se trouve au centre, le Bouddha Amitabha à l’Ouest et le Bouddha Akshobya à l’Est.

Les très grandes significations des corps de Dharma, de récompense et de transformation : ces syllabes représentent le corps du Dharma, de la récompense et de la transformation. La syllabe Nan veut dire les trois corps. Elle veut dire aussi la production des bijoux et la syllabe-germe. Elle a beaucoup de significations.

Tous les sages et les dignes des dix directions en proviennent : les Bouddhas, les Bodhisattvas et les sages des dix directions s’élèvent tous de ce Dharma. Ils ont tous pratiqué ce Dharma. Ils viennent tous de ce Dharma.

MANTRA : 194. YAN PE NA 



Verset :

Sur un grand arbre aux fleurs jaune d’or est assis le grand oiseau qui reste sagement fidèle à la voie des Bouddhas.

Le parfum du corps du Dharma se répand dans les mondes

Aussi nombreux que les sables du Gange.

Dans la Bodhi du non-retrait, on erre joyeusement de loin. 

Commentaire :

Cette ligne du Mantra Yan Pe Na qui veut dire Jambu se traduit par d’or ou l’arbre aux fleurs jaune d’or. Cette analogie au grand oiseau à ailes d’or qui vit dans l’arbre fait allusion à un aspect du merveilleux Dharma parlé par le Bouddha.



Sur un grand arbre aux fleurs jaune d’or est assis le grand oiseau qui reste sagement fidèle à la voie des Bouddhas. De même que l’arbre est grand, le Dharma aussi est très haut. Tous les dignes et les sages y demeurent. De même que le grand oiseau habite ce grand arbre, les Bouddhas et le rassemblement des sages restent tous dans le Dharma du Shurangama, le Dharma juste.

Le parfum du corps du Dharma se répand dans les mondes aussi nombreux que les sables du Gange. Le corps du Dharma des Bouddhas n’est présent nulle part, absent nulle part. Il s’étend partout en tous lieux.

Dans la Bodhi du non-retrait, on erre joyeusement de loin. Pratiquant le Dharma du Shurangama, on ne se retirera jamais de l’esprit de la Bodhi. Dans ce monde, s’il reste une personne susceptible de réciter le Mantra Shurangama, le Dharma restera. Les démons déviants, ceux des voies externes n’oseront pas apparaître, parce que le Mantra Shurangama peut les maîtriser. C’est le pouvoir du Mantra. S’il ne reste pas une seule personne susceptible de réciter le Mantra, alors le Dharma disparaîtra.

De plus, si nous apprenons à réciter le Mantra Shurangama par cœur et que nous le faisons tous les jours, pendant les sept vies à venir, nous renaîtrons dans la noblesse, dotés de grandes richesses. Si vous recherchez les bénédictions des humains et des dieux, récitez le Mantra Shurangama. Si vous pratiquez le chemin jusqu’à l’étape de la sagesse, vous devriez aussi le réciter.  

MANTRA : 195. HU SYIN DU LU YUNG 

Verset :

La merveille des mots véritables et du pouvoir du Mantra est difficile à concevoir.

Avec l’aide du Samadhi, nos pensées sont concentrées.

Les afflictions chaudes se changent en une potion de clarté et de fraîcheur

Tandis que le suprême Bouddha du Bijou nous protège à jamais. 

Commentaire :

La merveille des mots véritables et du pouvoir du Mantra est difficile à concevoir. Ces mots dépassent la pensée. La pensée ne peut l’atteindre. Le Mantra Shurangama ne peut être conceptualisé.

Avec l’aide du Samadhi, nos pensées sont concentrées. Le Mantra agit avec l’aide du Samadhi. Lorsque vous récitez le Mantra Shurangama, vous obtenez l’aide du Samadhi pour vous soutenir. Pendant la récitation, nos pensées doivent rester concentrées, vous ne pouvez vous adonner à une réflexion polluée.

Les afflictions chaudes se changent une potion de clarté de fraicheur.  Les afflictions chaudes se réfèrent aux inquiétudes et difficultés. Tout ceci se refroidira graduellement et on gagnera en clarté. C’est comme l’évocation d’un médicament rafraîchissant.

Le suprême Bouddha du Bijou nous protège à jamais : il nous soutient toujours pour que nous développions une grande détermination à l’égard de la Bodhi. 

Si tout le monde peut étudier le Mantra Shurangama, alors le vrai Dharma peut rester longtemps dans le monde. Maintenir le Mantra Shurangama, c’est protéger la doctrine du Bouddha; le Mantra a un merveilleux pouvoir inconcevable. 



Question :

Si on énonce les syllabes du Mantra incorrectement, le Mantra sera-t-il toujours efficace ?



Réponse :

Je vous répondrai par le biais d’une histoire vraie. Dans le passé, il y avait un vieux pratiquant qui récitait constamment le grand Mantra brillant à six syllabes, Om mani Padme Houm. S’abstenant de demander des conseils aux autres, il prononçait la dernière syllabe Nyu alors qu’il s’agit de Houm. Il déployait d’énormes efforts dans la pratique, récitait vigoureusement jour et nuit au point de réciter un million de Mantras par jour. Au début, il les comptait à l’aide d’un chapelet. Plus tard, il trouva une méthode plus simple : il rassemblait un million de graines de soja devant lui et, à chaque Mantra, il mettait une graine de côté jusqu’à ce qu’il eut traité le lot entier. Il devint si habile dans sa pratique que les graines n’avaient plus à être déplacées à la main, elles sautaient d’elles-mêmes de l’autre côté ! Plus tard, il se trouva quelqu’un à lui dire qu’il devrait réciter la dernière syllabe Houm au lieu de Nyu. Il changea donc sa méthode de récitation mais les graines s’arrêtèrent de sauter. Plus tard, il décida de retourner à sa récitation d’origine, mais les graines ne sautèrent pas davantage vers l’autre côté. Pourquoi ? Parce que sa foi avait été ébranlée lorsqu’il avait découvert avoir fait des récitations incorrectes. 



Question :

Quel est Mantra du cœur du Shurangama ?



Réponse :

Le long Mantra du cœur est : Dwo Jr Two, Nan, E Na Li, Pi She Ti, Pi La Ba She La, Two Li, Pan Two Pan Two Ni, Ba She La Bang Ni Pan. Hu Syin Du Yung Pu.

La version courte en est : Syi Dan Two, Bwo Dwo La. 

MANTRA : 196. SYI DAN PE NA 



Verset :

Tout entièrement parfait : c’est un heureux Dharma.

Une trésorerie ornée de bijoux infinis, elle comprend et rassemble.

Plusieurs types de Paramitas sont amenés à la perfection

Par ceux qui, dans une posture droite et correcte, sont assis sur les lotus roses.  

Commentaire :

Tout entièrement parfait : c’est un heureux Dharma. Une trésorerie ornée de bijoux infinis, elle comprend et rassemble. Cette ligne est un Dharma favorable. Quiconque le récite obtient la bonne fortune. Dans ce Dharma, se trouvent des trésoreries ornées de bijoux illimités qui comprend tous les pouvoirs de bonne fortune, de très grands pouvoirs.

Plusieurs types de Paramitas sont amenés à la perfection par ceux qui, dans une posture droite et correcte, sont assis sur les lotus roses. Si vous cherchez quelque chose, vous l’obtiendrez. Vous cherchez bénédictions et richesses, vous aurez bénédictions et richesses. Vous cherchez des fils et des filles, vous aurez des fils et des filles. Tout ceci est inconcevable.

Les Bouddhas sont assis sur des lotus rose d’or et aident tous les êtres vivants dans tous les mondes. 

MANTRA : 197. HU SYIN DU LU YUNG 

Verset :

Un cœur authentique, un esprit authentique : soyez sincère, toujours plus sincère.

Une pratique authentique : soyez sincère et encore plus sincère.

Des actions authentiques : soyez fidèle au-dessus du fidèle.

En toutes choses, de toutes les manières : soyez sincère, sincère, sincère ! 

Commentaire :

C’est la troisième fois que cette ligne apparaît. Elle apparaît plusieurs fois dans ce chapitre du Mantra suite à une question concernant les diverses prononciations des syllabes du Mantra. La réponse est que les prononciations diffèrent parce que les dialectes des pratiquants diffèrent. Cependant, cela ne fait pas de grandes différences de prononciation. Quoi qu’il en soit, les esprits du Mantra comprennent, peu importe le dialecte.

Mais vous devez avoir une pensée vraie, pas une pensée erronée, quand vous récitez. Si vous utilisez une pensée erronée, rien ne marchera; vous ne pouvez pas réciter pour des raisons cupides non plus ! Vous ne pouvez pas le faire avec l’espoir de gagner aux courses de chevaux. Vous ne gagnerez certainement pas si vous êtes avide comme cela. Et vous ne pouvez pas dire : « Je réciterai ce Mantra pour avoir de grands pouvoirs pour remuer les montagnes et conquérir tout le monde. » Si vous récitez avec ce genre de pensée, vous n’accomplirez certainement rien. Pourquoi ? Parce que vous êtes cupide et hostile.

Vous ne pouvez pas dire: « Je réciterai le Mantra deux fois et demie par jour pour avoir rapidement des pouvoirs spirituels. Puis j’utiliserai le Mantra pour donner aux gens des maux de tête et de pied. Il sera très magique. » Dans ce cas, vous n’atteindrez pas votre but.

Vous ne pouvez pas davantage dire : « Je réciterai le Mantra et tous les diamants de grande valeur en ce monde viendront à moi. » Il n’y a rien de tel. Vous ne pouvez vous consacrer qu’à votre propre intérêt. J’apprends à qui étudie la doctrine du Bouddha à ne pas se battre, ne pas être égoïste ni cupide, ne rien rechercher, ne pas poursuivre son profit personnel et ne pas mentir. Vous devez avoir un esprit authentique et maintenir ces règles.

Un cœur authentique, un esprit authentique. Soyez sincère, toujours plus sincère. Vous aurez besoin d’être deux fois sincère, sincère plus sincère et dépourvu de toute fausseté. Si votre pratique manque en partie de sincérité, elle ne sera pas efficace.

Une pratique authentique : soyez sincère et encore plus sincère.Vous devez authentiquement pratiquer la doctrine du Bouddha et être sincère au cœur du sincère.

Comment sait-on si on est sincère au cœur du sincère ? Vous faites comme si vous ne saviez pas, mais comment pourriez-vous ne pas vous connaître ? Ne savez-vous pas quand vous avez mangé, que vous êtes plein ? Etre sincère est comparable.



Des actions authentiques : soyez fidèle au-dessus du fidèle. Il y a eu déjà huit encouragements de fidélité; en voici quatre supplémentaires dans cette ligne, ce qui fait douze.

En toutes choses, de toutes les manières : soyez sincère, sincère, sincère ! Quinze sincère en tout : sincère, sincère, sincère, rien de faux.

Si en étudiant la doctrine du Bouddha, vous manquez de sincérité même un petit peu, vous vous trompez. Vous ne pouvez pas tromper les Bouddhas, les Bodhisattvas et autres. Cependant vous vous trompez vous-même. 

MANTRA : 198. BWO LA SHAI DI YE 


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